La règlementation sur l’utilisation du cuivre, antifongique naturel largement employé en viticulture, passe de 6 à 4 kg/ha/an. Quelles conséquences pour les viticulteurs, en bio comme en conventionnel ? Quels sont les arguments toxicologiques ou écotoxicologiques à l’origine de cette évolution réglementaire ?
Et quelles sont les alternatives crédibles en matière d’efficacité et d’innocuité
La 3e édition du séminaire « Vin et environnement » de l’ISVV s’attaque à ces questions, avec l’appui de : Didier Andrivon - directeur de recherche agriculture, INRA, pilote de l’expertise collective sur les alternatives au cuivre et Jacques Grosman - expert national vigne du ministère de l’agricultureInterventions suivies d’une table ronde animée par Eric Giraud-Héraud, ISVV
- Patrizia Pitton, Commision Européenne DG Santé
- Matthias Weidenauer, Task Force Cuivre Européenne
- Laurent Charlier, Conseil Interprofessionnel du Vin de Bordeaux
- Philippe Darriet, Institut des Sciences de la Vigne et du Vin
- Stéphane Becquet, Syndicat des Vignerons Bio de Nouvelle-Aquitaine